Sunday 7 February
The Return of the Toyota Curse
Since September, Toyota vehicles have been called back in the US. After similar moves in Europe and Asia, it’s in the turn of South African vehicles to taken back by Toyota.
Toyota vehicles know lots of problems especially with brakes and accelerators. Because of that, eight million cars have been recalled in the world. In South Africa, 23% of vehicles are Toyotas. But a Toyota spokesman, Mr. Kok, said that recalls are purely preventive and that there is no danger with vehicles made in South Africa. He also reminded that no problems have yet been reported in South Africa. Last Thursday, the US transportation department opened an investigation into brake problems in the 2010 Toyota Prius. Mr. Kok also said that all Toyota customers in South Africa would be contacted and could then take their vehicles.
My opinion:
I think that this is very dangerous to sell cars with problems and that every South African Toyota driver should take their cars back to the manufacturer, even if they have no problems with them.
Dimanche 7 février
La malédiction Toyota continue
Depuis le mois de septembre, les véhicules Toyota sont rappelés aux Etats-Unis. Après des actions similaires en Europe et en Asie, c’est au tour des véhicules de l’Afrique du Sud d’être rappelés par Toyota. Les véhicules Toyota connaissent beaucoup de dysfonctionnements notamment au niveau des freins et des accélérateurs. Du fait de ces problèmes, huit millions de voitures ont été rappelées dans le monde. En Afrique du Sud, 23% des voitures sont des Toyota. Mais un représentant de la marque japonaise, Mr Krok, a affirmé que la reprise des véhicules était préventive et qu’il n’y avait aucun danger pour les véhicules fabriqués en Afrique de Sud. Il a rappelé également qu’aucun problème n’a été jusqu’ici signalé en Afrique du Sud. Jeudi dernier, le ministère des transports américain a ouvert une enquête sur les problèmes de freins de la Toyota Prius 2010. Mr Krok a déclaré que tous les conducteurs sud-africains devraient être contactés et que leurs voitures pourraient être reprises.
Mon opinion :
Je pense qu’il est vraiment dangereux de vendre des voitures défectueuses et que toutes les propriétaires sud-africains de voitures Toyota devraient rendre leur voiture, même si elles n’ont pas de problème.
Julie
Source : http://news.bbc.co.uk/2/hi/africa/8499069.stm
South African News by Lycée Paul Lapie http://www.lyc-lapie-courbevoie.ac-versailles.fr/
samedi 13 février 2010
lundi 1 février 2010
Wednesday 3 February
Is SA intelligence minister's wife a trafficker ?
Drug traffic charges have been made against Sheryl Cwele, the intelligence minister's wife, aged 50. Sheryl Cwele is due to be implicated in cocaine traffic. She is accused of smuggling drugs from Turkey and Brazil. Mrs Cwele remains in prison until her bail's request is accepted. She has told local media she is innocent. Her husband told a local newspaper he didn't know about the alleged illegal activities of his wife. Allegedly, there is a connection between Sheryl Cwele and Tessa Beetge, a South African woman arrested in Brazil in 2008 with 9.2 kg of cocaine inside her luggage and sentenced to eight years of prison.
My point of view :
It remains to be seen whether Mrs Cwele will be considering by South African justice as an average citizen.
Mercredi 3 février
Un ministre mal renseigné
Des accusations de trafic de drogues ont été portées contre Sheryl Cwele, 50 ans, la femme du ministre des renseignements.
Sheryl Cwele serait impliquée dans le trafic de cocaïne. Elle aurait fait passer de la drogue en contrebande depuis la Turquie et le Brésil.
Mme Cwele, qui clame son innocence, va rester en prison jusqu'à ce que sa demande de caution soit acceptée. Son mari a déclaré ne pas être au courant des prétendues activités illégales de sa femme. Il y aurait un lien entre Sheryl Cwele et Tessa Beetge, une Sud-africaine arrêtée au Brésil en 2008 avec 9,2 kg de cocaïne dans ses bagages et qui a été condamnée à huit ans de prison.
Mon point de vue :
Il reste à voir si Mme Cwele sera traitée par la justice Sud-africaine comme une citoyenne ordinaire.
Amélie
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