dimanche 29 mars 2020

Coronavirus hits South Africa
Tuesday 17 March
South Africa first detected the virus on March 5.

Government is now expected to take measures to slow down the spread of coronavirus in South Africa.
This includes the possible introduction of a travel ban, sports events to be held in empty stadiums, limit mass gatherings to 1,000 people and quarantine for 14 days for South Africans returning from high risk countries.
The rapid spread of the virus could saturate the health-care system. According to the government: “There’s little money for ventilators and other life-support equipment needed for severe cases of Covid-19, and any sustained fight against the coronavirus would steer resources away from malaria and HIV, which kill hundreds of thousands every year.”
On Saturday, 114 South Africans from the Chinese city of Wuhan - where the pandemic was first reported in December – were repatriated. They are being quarantined at a resort with army protection.
This pandemic is reminiscent of the 1918 Spanish flu. This was the most devastating pandemic of modern times, killing more than 50 million people around the world in just over a year. South Africa was one of the five worst-hit parts. About 300,000 South Africans died within six weeks, representing 6% of the population. That pandemic came from Europe: in September 1918 soldiers were being repatriated after spending over a year behind the lines on the battlefields of France and Belgium. The health check and the quarantine were superficial and flu cases began to appear all over the country.


Le coronavirus en Afrique du sud
L'Afrique du Sud a détecté le virus pour la première fois le 5 mars.
Le gouvernement devrait maintenant prendre des mesures pour ralentir la propagation du coronavirus en Afrique du Sud.
Parmi ces mesures : une éventuelle interdiction de voyager, des événements sportifs devant se tenir dans des stades vides, la limitation des rassemblements de masse à 1 000 personnes et la mise en quarantaine de 14 jours pour les Sud-Africains revenant de pays à haut risque.
La propagation rapide du virus pourrait saturer le système de santé. Selon le gouvernement : « Il y a peu d'argent pour les respirateurs et autres équipements de survie nécessaires aux cas graves de Covid-19, et toute lutte soutenue contre le coronavirus détournerait les ressources du paludisme et du VIH, qui tuent des centaines de milliers de personnes chaque année. "
Samedi, 114 Sud-Africains de la ville chinoise de Wuhan, où la pandémie a été signalée pour la première fois en décembre, sont arrivés dans le pays. Ils sont mis en quarantaine dans une station avec la protection de l'armée.
Cette pandémie en rappelle une autre : en 1918, la grippe espagnole est arrivée dans le pays.
Ce fut la pandémie la plus dévastatrice des temps modernes, tuant plus de 50 millions de personnes dans le monde en un peu plus d'un an. L'Afrique du Sud était l'une des cinq régions les plus touchées. Environ 300 000 Sud-Africains sont morts en six semaines, ce qui représentait 6% de la population.
Cette pandémie est venue d'Europe : en septembre 1918, des soldats étaient rapatriés après avoir passé plus d'un an derrière les lignes sur les champs de bataille de France et de Belgique. Le bilan de santé et la quarantaine étaient superficiels et des cas de grippe ont commencé à apparaître dans tout le pays.
Lisa
https://businesstech.co.za/news/government/381723/drastic-measures-to-stop-the-coronavirus-in-south-africa-including-a-travel-ban/
https://qz.com/africa/1818699/south-africa-bungled-spanish-flu-lessons-are-still-relevant/
https://www.nytimes.com/reuters/2020/03/14/world/africa/14reuters-health-coronavirus-safrica-cases.html


Covid –19 hits South Africa

On March 3, the first South African man tested positively for coronavirus was isolated as well as his doctor.

Since the start of this coronavirus crisis, South Africa had avoided contamination but with the test of group of South African tourists who stayed in Lombardy – the epicenter of the virus in Italy - South African President Ramaphosa warned of crisis.

This first case of coronavirus in South Africa brings the total number of contaminated people in Africa to 27.

Mr Ramaphosa urged South Africans not to panic and to get immediate medical help if they showed symptoms of Covid-19.

In the confined city of Wuhan in China, 184 South Africans - mainly students, teachers and other professionals - have requested repatriation and the South African government said that they were investigating the request.

Moreover, in Japan, two South Africans tested positive and quarantined on a cruise ship now show a negative result. The coronavirus has also affected the country's economy, particularly in the aviation and fishing industries. Since the start of the epidemic, African airlines have lost $ 400 million because of the suspension of flights to China. For the fishing industry, prices dropped from $ 44.50 for a kilo of live lobster in January to $ 24 today.



Le Covid – 19 débarque en Afrique du Sud

Depuis le 3 mars, le premier sud-africain testé positif au coronavirus est isolé ainsi que son médecin. En effet, depuis le début de cette crise du coronavirus, l'Afrique du Sud a évité la contamination mais depuis le test d'un groupe de touristes sud-africains ayant séjourné en Lombardie (épicentre du virus en Italie), le président sud-africain Ramaphosa a mis en garde contre une crise.

Ce premier cas de coronavirus en Afrique du Sud porte à 27 le nombre total de personnes contaminées en Afrique.

M. Ramaphosa a exhorté les Sud-Africains à ne pas paniquer et à obtenir une aide médicale immédiate s'ils présentaient des symptômes de Covid-19.

Dans la ville confinée de Wuhan en Chine, 184 Sud-Africains ont demandé le rapatriement et le gouvernement a déclaré qu'il en était à un stade avancé sur la demande, il s'agit principalement d'étudiants, d'enseignants et d'autres professionnels. De plus, au Japon, deux Sud-Africains testés positifs mis en quarantaine sur un bateau de croisière affichent désormais un résultat négatif.

Le coronavirus a également affecté l'économie du pays, en particulier dans les secteurs de l'aviation et de la pêche. Depuis le début de l'épidémie, les compagnies aériennes africaines ont perdu 400 millions de dollars en raison de la suspension des vols vers la Chine. Pour le secteur de la pêche, les prix sont passés de 44,50 $ le prix d'un kilo de homard vivant en janvier à 24 $ aujourd'hui.

Ivan

Sources:

· https://www.bbc.com/news/world-africa-51752974?intlink_from_url=https://www.bbc.com/news/topics/cq23pdgvyl7t/south-africa&link_location=live-reporting-story



· https://www.bbc.com/news/av/world-africa-51722268/coronavirus-south-africa-s-economic-victims?intlink_from_url=https%3A%2F%2Fwww.bbc.com%2Fnews%2Ftopics%2Fcq23pdgvyl7t%2Fsouth-africa&link_location=live-reporting-map



· https://www.bbc.com/news/topics/cq23pdgvyl7t/south-africa

lundi 2 mars 2020


Robben Island 30 years after Mandela

Robben Island is an island in Table Bay, 6.9 kilometers west of the coast of Bloubergstrand, Cape Town, South Africa. It was used as a prison from the late 17th century to 1996. Many of its prisoners were political.

Political activist Nelson Mandela was imprisoned there for 18 of the 27 years he served behind bars. He was later awarded the Nobel Prize for Peace and was elected President of South Africa in 1994 for one term.

Robben Island is a South African National Heritage Site as well as a UNESCO World Heritage Site. Thirty years after Mandela left the prison on 11 February 1990, Robben Island has become a major tourist destination.

But at what cost? Today, Nelson Mandela's former prison sees nearly 350,000 visitors a year including more than 2,500 per day in high season. Enough to guarantee the museum a budget of 250 million euros per year but the site seems to be poorly managed and some necessary work has not been undertaken.

In 2018, a controversy took place because an auction for a charity was organized to spend a night in Mandela’s cell. The auction was criticized by the museum’s management and the operation finally didn’t take place with the message that Mandela’s legacy should’nt be exploited this way.





Robben island 30 ans après Mandela Robben Island est une île de Table Bay, à 6,9 kilomètres à l'ouest de la côte de Bloubergstrand, au Cap, en Afrique du Sud. Elle a servi de prison de la fin du XVIIe siècle à 1996. Beaucoup de ses détenus étaient des prisonniers politiques.

Le militant politique Nelson Mandela y a été emprisonné pendant 18 des 27 années qu'il a purgées derrière les barreaux. Il a par la suite reçu le prix Nobel de la paix et a été élu en 1994 président de l'Afrique du Sud, pour un mandat.
Robben Island est un site du patrimoine national sud-africain ainsi qu'un site du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Trente ans après que Mandela a quitté la prison le 11 février 1990), Robben Island est devenue une destination touristique majeure.
Mais à quel prix ? Aujourd'hui, l'ancienne prison de Nelson Mandela accueille près de 350.000 visiteurs par an dont plus de 2500 par jour en haute saison. De quoi garantir au musée un budget de 250 millions d'euros par an, mais le site semble mal géré et certains travaux nécessaires ne sont pas entrepris.
En 2018, une controverse a eu lieu car une vente aux enchères pour un organisme de bienfaisance a été organisée pour passer une nuit dans la cellule de Mandela. La vente aux enchères a été critiquée par la direction du musée et l'opération n'a finalement pas eu lieu, l’opinion publique estimant que l'héritage de Mandela ne devait pas être exploité de cette façon.



Lisa

Source :

https://en.wikipedia.org/wiki/Robben_Island

https://www.smithsonianmag.com/travel/robben-island-a-monument-to-courage-62697703/

https://economictimes.indiatimes.com/magazines/panache/outrage-over-charity-auction-of-300k-sleepover-in-nelson-mandelas-prison-cell/articleshow/64882826.cms

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/80844/reader/reader.html#!preferred/1/package/80844/pub/114518/page/9

dimanche 1 mars 2020



Asylum crisis

Over the last 4 months, hundreds of refugees and asylum seekers have been crammed into a church in the center of the South African city of Cape Town.

They will soon be entering their fifth month and have vowed not to leave the church premises until they are resettled outside of South Africa. In October, the same group organized a sit-in outside the headquarters of the UNHCR (= United Nations High Commission for Refugees).

Police attempted to forcibly remove them and these images deeply shocked the nation. Indeed, the asylum system in South Africa is saturated with less than one asylum request out of six accepted.

For a few days, the owners of local businesses have asked for the expulsion of the group claiming that it obstructed their businesses of tourist souvenirs located near the church but UNHCR said that they would not carrying out group resettlement.

In addition, new waves of xenophobic violence targeting foreign nationals accused of stealing jobs and resources have been taking place.

Last year, following similar violence the South African president described the violence as "totally unacceptable" and said there was "no justification for a South African to attack people from other countries”.



Les réfugiés du Cap

Au cours de ces 4 derniers mois, des centaines de réfugiés et de demandeurs d'asile se sont rassemblés dans une église au centre du Cap. Ils entreront bientôt dans leur cinquième mois et ont juré de ne pas quitter les locaux de l'église jusqu'à ce qu'ils soient réinstallés hors d'Afrique du Sud. En octobre, le même groupe avait organisé un sit-in devant le siège du HCR (Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés).

La police a tenté de les déloger de force et ces images ont profondément choqué la nation.

En effet, le système d'asile en Afrique du Sud est saturé avec moins d'une demande d'asile sur six acceptée. Depuis quelques jours, les propriétaires d'entreprises locales souhaitent l'expulsion du groupe prétendant qu’il gênait leurs commerces de souvenirs touristiques situés à proximité de l'église mais le HCR a déclaré qu'ils ne procéderaient pas au déménagement du groupe.

En outre, de nouvelles vagues de violences xénophobes visant des ressortissants étrangers accusés de voler des emplois et des ressources se poursuivent.

L'année dernière, à la suite de violences similaires le président sud-africain avait qualifié les violences de "totalement inacceptables" et avait déclaré qu'il n'y avait "aucune justification pour qu'un Sud-africain attaque des personnes d'autres pays".

IVAN

· Sources : https://www.bbc.com/news/world-africa-51284576?intlink_from_url=https://www.bbc.com/news/topics/cq23pdgvyl7t/south-africa&link_location=live-reporting-story

· https://www.bbc.com/news/topics/cq23pdgvyl7t/south-africa