The Democratic Alliance said on Thursday that water treatment had not improved in Ventersdorp, a town in North West. Access to clean water is a constitutional right which all South Africans should benefit from, says Marti Wenger, spokesman for the environmental and water affairs. It is clear that all municipalities are not taking this law seriously she said. Wenger then went to Tshing to learn more about the operation of treatment plants and distribution of water.
The plan for developing water services which took place in Ventersdorp in March 2011 revealed that 18 households had no access to water in their homes and 655 (about 3275 people) had no access to sanitation. Moreover, the authorities responsible for water treatment have shown limited interest and knowledge regarding their activity.
The Green Drop assessment team was sent to Ventersdorp to control plants. The team found that municipality was not at all to exacting standards and that 100% of facilities weren’t conformed to the law. Most of the recommendations of the Green Drop were not betting out. The only improvement was a better management of the wastewater flow, reported the spokesman.
For nearly two months sludge continued to be dumped at the waste water treatment site and sewerage has been flowing from the plant into the Tshing community without anyone there to respond. In this city, inhabitants have to walk at least 1 km for water consuming. Wenger said she was once again appalled by the inactivity of the government.
My opinion: Water covers about 80% of our planet, so there should be no shortage of it. But sewage treatment plants require very expensive machinery and skilled labor. That is why in countries like South Africa, the water resources are unevenly distributed. Water distribution is also a problem because in municipalities like Tshing, access to water is at least 1 km from households. Water is a primary need, so I think the stateshould invest more in it.
L’alliance démocratique déplore la situation du traitement de l’eau
L’alliance démocratique a déclaré jeudi que les services d'épuration de l'eau ne s'étaient pas améliorés à Ventersdorp, une ville du nord-ouest. L'accès à l'eau potable est un droit constitutionnel dont tous les Sud-Africains devraient profiter, affirme Marti Wenger, porte-parole des affaires environnementales et hydriques. Il est clair que toutes les municipalités ne prennent pas ce droit au sérieux dit-elle. Wenger s'est alors rendu à Tshing pour en apprendre plus sur le fonctionnement des stations d'épuration et la répartition de l'eau potable.
Le plan de développent des services hydrique mis en place à Ventersdorp en mars 2011 a révélé que 18 ménages n'avaient pas accès à l'eau dans leur foyer et 655 (soient 3275 personnes) n'avaient pas accès à l’eau potable. De plus, les autorités responsables du traitement de l'eau ont montré un intérêt et une connaissance limités en ce qui concerne leurs activités.
Une équipe du groupe Green drop a été envoyée à Ventersdorp pour contrôler les installations. Cette dernière a constaté que la municipalité n'était pas du tout aux normes standards et que 100% des installations ne sont pas conformes aux lois. La plupart des recommandations de la Green Drop n'ont pas été mises en œuvre. La seule amélioration a été une meilleure gestion de l'écoulement des eaux usées rapporte le porte-parole.
Pendant près de deux mois de la boue a été déversée dans les stations d'épuration et a coulé de l'usine jusqu'à la ville de Tshing sans que personne n'y réagisse. Dans cette ville, les habitants doivent parcourir au moins 1 km pour pouvoir récupérer de l'eau. Wenger encore une fois se dit consternée par la passivité du gouvernement.
Mon opinion : L'eau recouvre environ 80% de notre planète, nous n'en manquons donc pas. Mais voilà, les stations d'épuration requièrent des machines très coûteuses et une main d’œuvre qualifiée. C'est pourquoi dans des pays comme l’Afrique du sud, les ressources d'eau potable sont inégalement réparties. De plus, la distribution de l'eau est parfois négligée comme à Tshing où un accès à l'eau se trouve à au moins 1 km. L'eau étant une ressource vitale, je pense que l’État devrait être plus s'investir économiquement afin d'assurer ce service élémentaire à ses habitants.
Shirley