In a maternity in Soweto, hundreds of pregnant women and girls are dying needlessly, partly because their HIV status can be revealed during antenatal care.
More than a third of the 1,426 reported maternal deaths in 2012 were linked to HIV. A lack of information about sexuality contributed to hundreds of maternal deaths. According to experts, 60% of the deaths were avoidable.
Amnesty’s secretary general, Salil Shetty, said: “It is unacceptable that pregnant women and girls are continuing to die in South Africa because they fear their HIV status will be revealed. This cannot continue.”
The report found that many women and girls don’t attend cares until the latter stages of pregnancy because they have been led to believe an HIV test is compulsory.
In several clinics, a processing system can identify pregnant women and girls living with HIV and some clinics use separate lines for antiretroviral medication, different-colors for antenatal files, and different days for appointments.
A woman from Mpumalanga said “If I go for antiretroviral, my line is that side. All the people in this line, they know these people are contaminated by HIV. That’s why people are afraid to come to the clinic”.
Women and girls told the report authors that they feared discrimination from their family members after the positive result for HIV but Salil Shetty said that HIV testing must be done in a manner that respects the rights of women, without exposing them to further harm.
The report said an estimated 12.2% of South Africa’s population was infected with the HIV virus in 2012, compared with 10.6% in 2008, based on a survey of 38,000 people.
Le VIH cause de décès maternels évitables
Dans une maternité à Soweto, des centaines de femmes enceintes meurent inutilement, en partie à cause de leur infection par le VIH qui peut être révélée pendant les soins prénataux.
Plus d'un tiers des 1426 décès maternels déclarés en 2012 étaient liés au VIH. Un manque d’informations sur la sexualité contribue aussi aux décès de centaines femmes enceintes. D’après un expert, 60% des décès auraient pu être évités.
Selon la secrétaire général d’Amnesty International, Salil Shetty: “C’est inacceptable que des femmes enceintes continuent de mourir en Afrique du Sud car elles craignent que leur séropositivité soit révélée. Ça ne peut plus continuer comme ça.”
Le rapport a constaté que de nombreuses femmes et jeunes filles ne fréquentaient pas les cliniques jusqu'aux derniers stades de leur grossesse, car elles croyaient qu’un test de dépistage du VIH était obligatoire.
Dans plusieurs cliniques, un système de traitement peut identifier les femmes et les jeunes filles enceintes vivant avec le VIH et certaines de ces cliniques utilisent des queues différentes pour la médication antirétrovirale, différentes couleurs pour les fichiers-prénatales, et différents jours de rendez-vous.
“Si je vais à la clinique pour de la médication antirétrovirale, ma file sera de ce côté. Toutes les personnes qui sont de ce côté sont contaminées par le VIH. C’est pour cela que les femmes atteintes ont peur de venir à la clinique” a dit une femme de Mpumalanga.
Des femmes et des jeunes filles ont dit à l’auteur du rapport qu'elles craignaient la discrimination des membres de leur famille après le résultat positif pour le VIH, mais Salil Shetty a déclaré que le dépistage du VIH doit être fait d'une manière qui respecte les droits des femmes, sans les exposer à un autre préjudice.
Le rapport indique que selon les estimations 12,2% de la population de l'Afrique du Sud a été infecté par le virus du VIH en 2012, contre 10,6% en 2008, basée sur une enquête auprès de 38.000 personnes.
Lola