As each year, an international conference about the environment is organised by the United Nations. This year the COP21 (Conference of the Parties) will be held in Paris, France from November 30 to December 11 and 140 heads of state will attend this meeting about Climate Change.
“The president will attend the heads of state and government segment on the 30th of November,” said the presidency in a statement.
South Africa is ranked 30th in the world for bad air quality and Johannesburg, the country worst polluted city, is the 99th in the world. The country must think about solutions to reduce pollution.
SA also is a major actor in this event because she is an active member of the Group 77, a loose coalition of developing nations (Basic*), designed to promote its members' collective economic interests and create an enhanced negotiating capacity in the United Nations.
South Africa has the special responsibility to share the interests of developing countries in the negotiations for the Paris agreement
This necessitated defending the legal rights of developing countries and receiving the support they required to make the transition to a low carbon economy and to adapt to the reality of a climate that was already changing and damage associated with this.
“Such as South Africa, these countries are not able to realise this potential on their own. Finance will be of central importance to the Paris outcome and has to be an integral part of the agreement itself,” Zuma said.”
For developing countries it can be difficult to reconcile sustainable development and economic expansion. This is why the presence of Jacob Zuma at COP21 is essential. He will be accompanied by Environmental Affairs Minister Edna Molewa.
M.s
* Brazil, South Africa, India and China
Liens Sources / Link :
http://citizen.co.za/886461/zuma-to-attend-cop-21-in-paris/
https://en.wikipedia.org/wiki/2015_United_Nations_Climate_Change_Conference
L’AFRIQUE DU SUD à LA COP21
Comme chaque année, une conférence mondiale sur l’environnement est organisée par les Nations Unies. Cette année, la COP21 se déroulera à Paris (en France) du 30 novembre au 11 décembre. 140 chefs d’Etat sont attendus à ce rendez vous sur les changements climatiques.
« Le président assistera à la conférence des chefs d’états et ministres le 30 novembre » a déclaré la présidence dans un communiqué.
L’Afrique du Sud est classée en 30e position pour la mauvaise qualité de l’air et Johannesburg, la ville la plus polluée du pays, est également la 99e mondiale. Le pays doit donc réfléchir à des solutions afin de réduire la pollution.
Elle est aussi un acteur majeur de l’événement car elle est membre du Groupe 77, l’association des pays émergents, créé pour promouvoir leurs intérêts économiques et augmenter leur capacité de négociation aux Nations Unies.
Le pays a donc la responsabilité de partager les intérêts des pays en développement lors des négociations de l'accord à Paris.
Cela implique de défendre les droits de ces pays en développement, de recevoir le soutien nécessaire pour une transition vers une économieproduisant moins de CO2 et de s'adapter face à la réalité du changement climatique ainsi qu'aux dégâts engendrés.
« Tout comme l'Afrique du Sud, ces pays sont incapables de résoudre ce problème eux même. La finance devra être au cœur, et même être partie intégrante, de l'accord prit à Paris », a déclaré le Président Zuma.
Pour les pays en développement, il peut être difficile de concilier développement durable et essor économique. C'est pourquoi la présence de Jacob Zuma à la COP 21 est primordiale.
Il sera accompagné du Ministre des affaires environnementales Edna Molewa.
South African News by Lycée Paul Lapie http://www.lyc-lapie-courbevoie.ac-versailles.fr/
lundi 30 novembre 2015
dimanche 29 novembre 2015
SOUTH AFRICA DIVIDED ABOUT EDUCATION
11 novembre 2015
In Johannesburg, Pretoria or Cape Town, South African students have never been more determined in their protest against university fees increase.
Three weeks ago on Wednesday 21 October 2015 after storming the parliament in Cape Town, the students of many of the country's universities were fired at by riot police.
Afterwards, President Jacob Zuma announced that there would be no fee increases for another year. He also promised to speed up reform in the country's education system, which protesters claim still looks like the old apartheid system.
However, this is not enough for the students. They are now fighting for tuition free and denouncing subcontracting of universities employee (cleaners, security guard...).
On Tuesday 22 October, the country was moved to tears after white students formed a human shield around black demonstrators to protect them from the police.
The group of protesters were taking part in the ongoing #feesmustfall campaign at the Eastcape Midlands College and white students from neighbouring Rhodes University surrounded them.
The last events in South Africa show that the country is divided: on one side the “Born Free” generation with no experience of apartheid, united and ready toprompt change and on the other, the old guard and the African National Congress’s (ANC).
The Chancellor of the Wits College also asked the students to focus on their end of year exams.
M.s
L'AFRIQUE DIVISEE SUR L'EDUCATION
A Johannesburg, à Pretoria ou encore au Cap, les étudiants n'ont jamais semblé si déterminés et continuent à manifester contre l'augmentation des frais de scolarité à l'université.
Il y a trois semaines (le mercredi 21 octobre 2015) après avoir pris d'assaut le Parlement qui se dans la capitale, les étudiants de différentes universités ont été repoussés pas la police anti-émeute.
Le président Jacob Zuma a annoncé qu’il n’y aurait finalement pas d’augmentation des frais de scolarité cette année. Il a également promis de revoir le système éducatif que les protestataires disent trop ressembler à celui du temps de l’apartheid.
Mais pour les étudiant, ça n’est pas assez. Ils se battent maintenant pour une scolarité gratuite et dénoncent la sous-traitance des emplois dans les universités (femmes de ménages, agents de sécurité..).
Jeudi 22 octobre, le pays a été bouleversé de voir des étudiants blancs former un bouclier humain afin de protéger des manifestants noirs de la police. Il s’agissait d’un groupe d’ étudiants noirs de l’université de Eastcape Midlands – qui prenaient part à la compagne #feesmustfall (les frais de scolarité doivent chuter) ainsi que d’étudiants blancs de l’université voisine de Rhodes.
Les derniers événements divisent le pays en deux: d’un côté la génération « Born Free » (nés après l’Apartheid), unie et prête à évoluer et de l’autre, le Congrès National Africain plus conservateur.
Le chancelier de l’université de Wits a aussi demandé aux étudiants de se concentrer sur leurs examens de fin d’année.
Sources
http://www.huffingtonpost.co.uk/2015/10/22/white-students-form-human-shield-protect-black-protesters-south-african-police_n_8356054.html
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/africaandindianocean/southafrica/11950108/South-Africas-FeesMustFall-student-protestors-attack-fences-around-Pretoria-government.html
In Johannesburg, Pretoria or Cape Town, South African students have never been more determined in their protest against university fees increase.
Three weeks ago on Wednesday 21 October 2015 after storming the parliament in Cape Town, the students of many of the country's universities were fired at by riot police.
Afterwards, President Jacob Zuma announced that there would be no fee increases for another year. He also promised to speed up reform in the country's education system, which protesters claim still looks like the old apartheid system.
However, this is not enough for the students. They are now fighting for tuition free and denouncing subcontracting of universities employee (cleaners, security guard...).
On Tuesday 22 October, the country was moved to tears after white students formed a human shield around black demonstrators to protect them from the police.
The group of protesters were taking part in the ongoing #feesmustfall campaign at the Eastcape Midlands College and white students from neighbouring Rhodes University surrounded them.
The last events in South Africa show that the country is divided: on one side the “Born Free” generation with no experience of apartheid, united and ready toprompt change and on the other, the old guard and the African National Congress’s (ANC).
The Chancellor of the Wits College also asked the students to focus on their end of year exams.
M.s
L'AFRIQUE DIVISEE SUR L'EDUCATION
A Johannesburg, à Pretoria ou encore au Cap, les étudiants n'ont jamais semblé si déterminés et continuent à manifester contre l'augmentation des frais de scolarité à l'université.
Il y a trois semaines (le mercredi 21 octobre 2015) après avoir pris d'assaut le Parlement qui se dans la capitale, les étudiants de différentes universités ont été repoussés pas la police anti-émeute.
Le président Jacob Zuma a annoncé qu’il n’y aurait finalement pas d’augmentation des frais de scolarité cette année. Il a également promis de revoir le système éducatif que les protestataires disent trop ressembler à celui du temps de l’apartheid.
Mais pour les étudiant, ça n’est pas assez. Ils se battent maintenant pour une scolarité gratuite et dénoncent la sous-traitance des emplois dans les universités (femmes de ménages, agents de sécurité..).
Jeudi 22 octobre, le pays a été bouleversé de voir des étudiants blancs former un bouclier humain afin de protéger des manifestants noirs de la police. Il s’agissait d’un groupe d’ étudiants noirs de l’université de Eastcape Midlands – qui prenaient part à la compagne #feesmustfall (les frais de scolarité doivent chuter) ainsi que d’étudiants blancs de l’université voisine de Rhodes.
Les derniers événements divisent le pays en deux: d’un côté la génération « Born Free » (nés après l’Apartheid), unie et prête à évoluer et de l’autre, le Congrès National Africain plus conservateur.
Le chancelier de l’université de Wits a aussi demandé aux étudiants de se concentrer sur leurs examens de fin d’année.
Sources
http://www.huffingtonpost.co.uk/2015/10/22/white-students-form-human-shield-protect-black-protesters-south-african-police_n_8356054.html
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/africaandindianocean/southafrica/11950108/South-Africas-FeesMustFall-student-protestors-attack-fences-around-Pretoria-government.html
mardi 24 novembre 2015
Storm
destroys hundreds of houses in Limpopo
Hundreds
of people in Limpopo were left homeless after their houses were
damaged by a storm that saw the roofs of at least 200 houses blown
off.
The
storm saw huge, tennis ball sized hailstones shatter roofs and
destroy properties.
Disaster
Management in Limpopo wants the government to build new houses for
families.
Many
victims were still trying to rebuild their homes days after the
devastating storm, but inspectors said some of the damaged buildings
posed a serious risk. The Limpopo Department of Co-operative
Governance, Human Settlements and Traditional Affairs warned
residents to prepare for the possibility of more severe thunderstorms
in the province.
The
provincial disaster management centre said homes in part of the
Sekhukhune and Mopani districts were the ones hardest hit hard by the
storm.
110
houses were left without roofs in the districts of Mopani and 34
houses in Apel village.
Temporary
shelter has been provided and officials are also in the process of
handing over food parcels.
The
government said that Limpopo is likely to be hit again by a climate
anomaly.
Une
tornade détruit une centaine de maisons dans la région du Limpopo
Une
centaine de personnes dans la région du Limpopo se sont retrouvées
sans domicile après qu'une tornade eut détruit leur maison et
arraché au moins deux cents toits.
Une
chute de grêlons de la taille d'une balle de tennis a fracassé les
toits et a détruit les habitations.
Le
Centre de Gestion des Catastrophes du Limpopo souhaite que le
gouvernement construise de nouvelles maisons pour les familles
touchées.
De
nombreuses victimes tentent encore de réparer des logements
lourdement endommagés malgré les risques importants que les
inspecteurs souhaitent éviter.
Les
autorités ont averti les résidents de se préparer à d'éventuelles
nouvelles intempéries dans la province.
Le
Centre de gestion de catastrophes de la province a affirmé que les
maisons situées dans une partie des régions de Sekhukhune et Mopani
étaient les plus gravement touchées par la tornade.
110
maisons ont perdu leur toit dans la région de Mopani et 34 dans le
village d'Apel.
Selon
un responsable local, Spencer Moraswi, des abris temporaires ont
été prévus et de la nourriture devrait bientôt être distribuée.
Le
gouvernement a affirmé que le Limpopo risquait d’être frappée à
nouveau par des anomalies climatiques de ce style.
Mots
nouveaux :
hailstones (grélons), shatter (frapper, percuter, fracasser), hand
over (donner).
Mélik
lundi 16 novembre 2015
University ends teaching in Afrikaans after protests
On
November 13, 2015, University of Stellenbosch adopted English as main
language after acknowledging that Afrikaans was a language linked
with apartheid. English will be the main language students learn with
Afrikaans as additional language. The education authorities announced
their decision after a viral video about racism faced by black
students on the campus became popular.
A
large movement fighting against rising tuition fees recently spread
in South Africa.
Stellenbosch
University played a main role in the development of an apartheid
policy. It was there that a professor helped to define the racial
ideology that became apartheid.
The
university said in a statement: "The primary language of
communication and administration at Stellenbosch University will be
English, with Afrikaans and IsiXhosa as additional languages".
It
added: "At Stellenbosch University we intend using language in a
way that is oriented towards engagement with knowledge in a diverse
society and to ensure equitable access to learning and teaching
opportunities for all students".
Une
université suspend l’enseignement en afrikaans après
plusieurs manifestations
Le
13 novembre 2015, l'Université de Stellenbosch a adopté l'anglais
comme langue principale après avoir reconnu que l'afrikaans était
une langue liée à l'apartheid. L'anglais sera la première langue
que les élèves apprendront et parleront avec l'afrikaans comme
langue secondaire. Le rectorat a pris sa décision après la
diffusion d’une vidéo virale sur les réseaux sociaux dénonçant
le racisme sur son campus.
Un
grand mouvement de protestation contre l'augmentation des frais de
scolarité secoue actuellement le pays.
L'Université
de Stellenbosch a joué un grand rôle dans le développement d'une
politique d'apartheid. C'est là qu'un professeur a contribué à
définir l'idéologie du système.
L'université
a déclaré dans un communiqué : « La première langue de
communication et d'administration à l'université de Stellenbosch
sera l'anglais, avec l'afrikaans et l' IsiXhosa comme langues
additionnelles. »
L'établissement
a ajouté : « A l'Université de Stellenbosch, nous comptons
utiliser la langue pour tenir nos engagements culturels dans une
société de diversité et pour garantir un accès équitable à
l’enseignement pour tous les étudiants. »
http://www.bbc.com/news/world-africa-34807291
http://financialcv.com/2015/11/south-african-university-ends-teaching-in-afrikaans-after/
Mélik
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