Tuesday, education
and human rights authorities said they had launched investigations into racism
at private schools because parents complained that black and white pupils were
segregated.
This case
is important because private schools are increasingly popular in South Africa
among the middle classes. They can afford what they consider to be “superior
education” to that offered by government schools. Moreover, the school's
holding company Curro Holdings, boasts 42 schools with around 36,000 pupils
across the country.
According
to Thinus Pienaar, who is white, the language was the reason behind the
separation: "It was never a question of putting black people in one class
and white people in another class. It was a question of putting language
parameters in place”, he told. He suggested that most black people prefer their
children to be educated in English while some whites would opt for Afrikaans.
However
Bonolo Sekgwe, a black parent, opposed the separation of classes because it
went against the spirit of a free South Africa. "We are building a
democratic country, our neighbours are all different colours at home, so why
come to school and segregate them. What are we teaching our kids? It is a
problem". She is not the only people to complain. Lesufi, a polititian, is
against this separation: "I will not allow any child to be reminded about
where we came from".
Depending
on the group CEO Chris van der Merwe, "Curro does not support any form of
racial segregation in its schools". They are struggling to get teachers of
colour to apply at Curro.
Wide angle:
Under South
Africa's former apartheid system, which ended with the country's first
democratic elections in 1994, racial segregation was the norm in all walks of
life.
But, despite
the end of apartheid 20 years ago, racism is widespread and many complaints
received by The Human Rights Commission are dealing with racism.
Retour de la ségrégation à l’ école ?
Mardi, réagissant aux plaintes de parents d’élèves sur les
différences de traitement entre élèves noirs et blancs, les autorités
éducatives et concernant les Droits de l’Homme ont dit avoir lancé une enquête
sur le racisme dans les écoles privées.
Cette affaire est considérable car les écoles privées sont
de plus en plus répandues en Afrique du Sud parmi les classes populaires. Ces
classes sociales peuvent se permettre ce qu’elles considèrent comme l' « éducation
supérieure » par rapport à celle offerte par les écoles publiques. En
outre, la société holding de l'école Curro Holdings, compte 42 écoles pour
environ 36 000 élèves à travers le pays.
Selon Thinus Pienaar, qui est blanc, l’étude des langues est
l’explication à la séparation des enfants: "Il n'a jamais été question de
mettre les noirs dans une classe et les blancs dans une autre. C’était une
question d’organisation avec la langue des enfants.", at-il déclaré. Il
assure qu’en moyenne, les noirs préfèrent que leurs enfants soient éduqués en
anglais alors que les blancs opteraient plus pour l’Afrikaans.
Cependant Bonolo Sekgwe, un parent noir, s’oppose à la
séparation des classes car ce phénomène va à l'encontre de l'esprit d'une
Afrique du Sud libre. « Nous construisons un pays démocratique, nos voisins
sont tous de couleurs différentes, alors pourquoi venir à l'école et séparer
les blancs des noirs. Qu’enseignons-nous à nos enfants? Nous faisons face à un
problème". Elle n’est pas la seule à se plaindre. Lesufi, un homme
politique, est contre cette séparation: "Je ne vais autoriser qu’on traite
un enfant en fonction de ses origines".
Selon le directeur général du groupe Chris van der Merwe,
"Curro n’accepte aucune forme de ségrégation raciale dans ses
écoles". Ils auraient même du mal à amener les enseignants de couleur à
travailler au Curro.
Ouverture sur sujet:
Sous l'ancien régime d'apartheid de l'Afrique du Sud, qui s’est
terminé avec les premières élections démocratiques du pays en 1994, la
ségrégation raciale était la norme dans tous les domaines de la vie courante.
Mais, en dépit de la fin de l'apartheid il y a 20 ans, le
racisme est encore très répandu et beaucoup de plaintes à ce sujeet ont été
reçues par la Commission des droits.
Perrine
04/02/2015
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